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Après-midi shopping

Le rendez-vous avait été fixé depuis plusieurs jours. En fait c'est un couple que je fréquente depuis cinq ans. La miss savait qu'il s'agissait d'une après-midi particulière, Depuis tout ce temps on a un rdv qui est presque comme une tradition tacite qui est d'emmener Émilie en shopping à la fin de l'été et souvent soit j'ai droit a une petite gâterie dans une cabine d'essayage soit au retour on a un rapport. Ce petit rituel commençais a devenir un peu trop routinier je décidais donc de varier un peu en apportant un petit accessoire discret mais prometteur : un oeuf vibrant, connecté à mon téléphone. Des mon arrivé chez eux je dis bonjour a Thomas et discute avec lui en attendant la miss. Lorsqu'elle arrive je vais à sa rencontres et lui glissas discrètement l'objet dans la main, accompagné d'un murmure à l'oreille :
— « Mets-le, et laisse-moi m'occuper du reste. »

Un éclat de malice passa dans ses yeux. Elle le prit discrètement et le mis aussitôt dans son sac. Elle attendi que l'on soit dans la voiture pour l'introduire en elle, et me regarda avec un sourire aguicheuse : toi tu veux baiser dans une cabine. J'ai attendu un long moment avant d'activé la première vibration pour que la surprisesoi totale. Elle eut un léger sursaut, vite camouflé par un sourire.
La promenade prit une autre dimension. Dans chaque rayon, chaque essayage, je jouais avec l'intensité. Elle tentait de rester naturelle, mais ses lèvres mordues et ses regards furtifs la trahissaient. Moi j'observais et trouvais la situation super éxcitante, savourant cette lutte délicieuse entre son apparence sage et son frisson intérieur.
De temps à autre, je prenais un un malin plaisir augmenté la vibration pendant quelques instants avant de reprendre la plus petite vibration ce qui déclenchais chez elle un sourire crispé, d'un geste qui cherchait à reprendre contenance. Pendant ce temps je tenais Thomas au courant par message, complice silencieux de cette mise en scène. Lui, à distance, recevait l'évolution de l'excitation croissante. Pendant un essayage de sous-vêtements j'entra avec elle dans une cabine et poussa la vibration brièvement mais deux à trois fois au maximum ce qui lui arracha un petit râle de plaisir. Elle bascule dans mes bras. Moi profitant de la situation pour la plotter et recommence à augmenter la vitesse des vibrations mais cette fois ci elle me mordit dans le cou pour étouffé son gémissement.
À la sortie des boutiques, le jeu avait atteint son apogée. Elle riait nerveusement, déjà conquise.
Dans la voiture, le silence pesait, mais c'était un silence vibrant, plein de ce qui allait venir. Elle fixait la route, ses doigts jouant nerveusement avec la lanière de son sac. Je gardais mon téléphone proche ma main, posé sur mes genoux comme une clé invisible de ce qui se passait en elle. Et continua de jouer avec elle durant le trajet. Plusieurs fois elle me demanda de m'arrêter dans un coin discret ce que je refusa évidemment. Je la voyait promener ses mains sur elle se tordre sur le siège comme torturer de plaisir.
Au moment d'entrer dans leur maison j'effleurais l'écran. Un petit cri, lui échappa.
— C'est trop chuchota-t-elle, ses yeux brillants d'un mélange de surprise et de malice.
Je me penchas à son oreille :
— Et ce n'est que le début.
Arrivés devant la porte, je la laissas entrer l en première. Le salon etait baignée d'une lumière tamisée. Assis sur le fauteuil, le mari nous attendait, calme, observateur. Son regard glissa sur elle, puis sur moi, avec ce sourire complice qui disait : parfait, elle est prête.
Elle s'immobilisa quelques secondes, consciente d'être désormais au centre. Je posas une main dans son dos, l'encourageant doucement à avancer. Le téléphone vibra à nouveau dans ma paume intensifiant à nouveau les vibrations. Son souffle se coupa, son corps se tendit malgré elle.
— « Tu joues avec moi… » souffla-t-elle en serrant les dents pour garder contenance.
— Non, je répondis, un sourire au coin des lèvres, je joue pour lui.
Ses yeux s'agrandirent un instant, avant qu'elle ne les détourne vers son chéri. Elle rencontra son regard, intense, presque brûlant. À cet instant précis, une vibration plus longue la traversa et, incapable de retenir un soupir, elle serra ses mains sur les coussins du canapé. Lui, immobile dans son fauteuil, esquissa un sourire satisfait.
Placé dans son dos. Je la déshabille, puis lui dit tu ne veux pas lui montré tes achats.
Un léger gémissement répondit à tes mots.
Le mari se redressa dans son siège, admirateur de la scène. Il ne parlait pas encore, mais son regard était un langage suffisant. Je fis monter l'intensité une dernière fois, juste pour la pousser au-delà de sa retenue. Elle se cambra légèrement, la tête renversée en arrière, et laissa enfin échapper ce soupir qu'elle retenait depuis trop longtemps.
Le silence qui suivit était presque solennel. Tu désactivas le téléphone et retirais doucement l'accessoire, comme pour clore le prélude. Elle, les joues encore rouges.
Thomas reste spectateur, témoin silencieux de ce jeu à trois.
Émilie, encore frémissante, laissait ses doigts glisser sur le tissu de ses nouvelles emplettes, comme si elle cherchait un appui, une contenance. Moi, derrière elle, je faisais durer ce moment, prolongeant l'attente, savourant chaque geste qui la faisait rougir davantage.
Le mari n'avait pas bougé. Assis dans son fauteuil, il semblait parfaitement maître de lui-même, mais son regard fixait chacun de nos mouvements, comme pour les graver en mémoire. Son silence pesait, presque solennel, et ajoutait à la scène une intensité troublante.
Je glissas ton visage tout près de son oreille et murmuras : Montre-lui… et parcouru la peau de son cou du bout de ma langue.
Elle hésita, son souffle tremblant, puis déposa lentement les articles de lingerie qu'elle avait choisis. Les tissus délicats effleurèrent la table basse, contrastant avec la tension qui montait dans la pièce. Chaque pièce révélée devenait comme une confidence adressée autant à moi qu'à lui.
Le mari, toujours impassible, esquissa pourtant un sourire discret. Son regard passa de l'étoffe à la peau d'Émilie, comme pour comparer, pour imaginer. Elle, consciente d'être observée, se mordit la lèvre. Ce simple détail fit naître un frisson qui traversa son corps, perceptible dans la façon dont ses épaules s'arquaient légèrement.
Je la guidais, posant tes mains avec douceur mais fermeté sur ses hanches, comme pour lui rappeler que tu étais le maître du rythme. Elle se laissa faire, docile, mais ses yeux continuaient de chercher, de se poser sur son mari, comme pour mesurer chaque réaction, chaque approbation silencieuse.
Le salon baignait dans une lumière chaude et tamisée. Le moindre souffle, semblait amplifié. Je commença à caresser son corps d'une main tandis que mon autre main defaisait la boutonnière de mon jean. Car si je me suis montrer impassible jusqu'à maintenant, en réalité je luttais pour ne pas la prendre depuis la cabine d'essayage. Mais maintenant ici, dans leur salon, devant Tom, je n'ai plus envie de me retenir. Nous formions un triangle invisible : moi dans l'action, elle dans l'abandon, lui dans la contemplation. Et ce jeu muet, ce partage sans mots, donnait à l'instant une intensité presque irréelle.
Puis je l'ai guider sur le canapé ou nous avons commencé nôtre étreinte devant son mari.

Dernière réponse le 25 septembre
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Photo de Nico78520
102 km • Homme 45
a publié ce sujet
Vixen77Stag
Superbe. Cela me donne beaucoup d'inspiration 😉
Merci