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Rencontre avec un couple bobo lyonnais le 30/04/25

Bonjour à tous

un "petit" texte écrit par une épouse lors d'une rencontre du long WE du 1er mai.
c'est une idée de son maris, de lui faire raconter, par son regard notre rendez vous.
il a eu cette idée après avoir lu mon premier partage ( celui du maris savoyard)

Je précise qu'il s'agit d un couple d'intellectuel lyonnais, assez "bobo".
MME a donc pris son temps pour l'écrire, car pas très facile d'exprimer ses sentiments et ressenti, surtout sur la partie jouissance ou elle fait un vrais travail sur elle même pour maitre des mots son ressenti.
J'espère que vous apprécierez a sa juste valeur l'effort de la dame :

Me voilà.
J'ai fini plus tôt aujourd'hui.
Je me dépêche il est déjà 16h00, nous sommes le 30 avril
L'homme qui va venir est spécial tu m'as dit : « tu vas connaitre un vrais ALPHA »
C'est la première fois que tu choisis de faire venir ce type de personne.

J'entre.
J'ai respecté les consignes vestimentaires qu'il t'a transmis
J'ai mis une robe d'été courte a fine bretelle et les talons sont les plus hauts que j'avais.
J'ai enlevé ma culotte, mon soutien-gorge dans le parking.
Je ne porte plus rien sous ma robe.
Je sors dans la rue, croisent des inconnus, longe la rue ……..
Je me surprends à apprécier d'être ainsi, dehors, nue, libre, d'avoir juste un léger tissu qui voile mon corps.
Une sensation plutôt agréable,
J'entre sous le porche.
Je monte les escaliers, priant secrètement que personne ne monte derrière moi,
Me voilà arriver,
Je mets la clé dans la serrure, ouvre et entre.
Je ferme la porte et pose mes clés sur la commode de l'entrée.

Tu es la devant moi, nu, ton corp sublime exposé à ma vue
Qu'est que tu es beau mon amour, c'est fou comme je peux t'aimer, aimer ce corps qui reflète tellement la complexité de ta personnalité, à la fois puissant et fragile.
Je m'approche de toi, doucement pour t'embrasser, mais ton index se pose sur ma bouche.
« Pas maintenant », « tu sais que tu dois faire quelque chose, car cette après-midi tu es la femme d'un autre homme, un vrais ! »
C'est vrai ! J'avais oublié ! mais quelle frustration de ne pouvoir caresser ton corps, et puis quels mots étranges dans ta bouche : « un homme, un vrais », mais tu es mon homme et tu n'es pas du tout faux !
Tu me tends l'objet, un objet d'un autre âge, une cage de chasteté, je ne connaissais pas cette pratique, mais tu m'as dit que tu en avais besoin pour t'aider a tenir ton rôle aujourd'hui.
Je l'installe maladroitement, essayant de ne pas te faire mal, ce n'est pas évident.
Je tâtonne, force un peu cet anneau a du mal à passer, puis fermer cette cage sur ton sexe qui, ton sexe que j'aime tant qui commence à durcir sous mes mains et qui se trouve enfermé tel un oiseau privé de liberté.
Je verrouille et garde la clé

Tu me regarde et souris, je lis dans ton regard combien je suis belle à tes yeux
Tu as dans les yeux cette flamme magique de l'excitation géniale, et tant d'amour, Amour.
Je te plais en call-girl.
Je vais donc en jouer.

Je sens si fortement cette aimantation irrésistible qui bouleverse nos vies.
Ce truc incroyable qui se passe entre nous, cette simple joie d'être ensemble.

La sonnette interrompt ce moment de grâce

C'est lui, le voilà.
Tu vas dans la grande pièce. Je reste seule, je referme la porte.
Je vais lui ouvrir.
Il est là, devant moi, dans la porte, grand, de belles épaules, brun, des yeux bleu sombre et autoritaires.
Il a une vraie présence.
Je m'écarte naturellement pour qu'il entre.
J'ai un sentiment étrange face à lui, je me sens fragile, intimidée, soumise.
Soumise ? Est-ce bien moi qui pense cela ?
Je comprends mieux pourquoi tu as utilisé le terme « d'alpha », il y a une aura qui se dégage de lui.
Il me regarde droit dans les yeux, que je baisse immédiatement
Il referme la porte.
Il me regarde de haut en bas.
Ma petite robe à bretelle.
Mes chaussures à talons de 12cm.
Mes jambes.

« Bonjour, …., je constate que ton mari ne m'avait pas menti, tu es magnifique », me dis-t-il, d'une voix chaude grave et monocorde
Je me surprends à rougir
« Approche s'il te plait !»
Je m'exécute, comme si sa voix était un aimant
« Tu as quelque chose pour moi je crois »
Je lui tends la clé de la cage qu'il met immédiatement dans la poche de sa veste.
Puis il soulève ma robe, je ne dis rien, étrangement subjugué, je me sens comme un animal qu'on examine,
« C'est bien ! » dis-t-il d'un ton satisfait
Je souris légèrement.
Je sens son bras s'enrouler autour de ma taille, me rapprochant de lui, je ne résiste pas, je ne peux pas, je ne veux pas…
Il m'embrasse profondément en caressant mes fesses nues sous ma robe. Mon corps se cambre naturellement contre lui comme s'il ne me répondait plus.
Je sens du désir comme une onde implacable en bas de mon ventre.
Après ce long baiser, l'étreinte ferme se relâche délicatement, étonnamment je me rends compte alors qu'il ne me tenait que d'un seul bras.
Il longe le couloir et entre dans la chambre.
Notre chambre, mon coeur se met à battre la chamade, je sais que tu es la, dans la pièce, juste en face la porte fermée
Je le suis. Je me tiens dans l'embrasure de la porte, la main contre le chambranle, et je le fixe. Provocante.
Il a ôté sa veste, laissant apparaitre un buste large, sans être musclé à outrance
Il revient vers moi.

Et il m'embrasse encore m'enlaçant puissamment contre lui.
Il touche ma poitrine
Sa main couvre mon petit sein et mon téton durci presque immédiatement sous se contact virile
Le baiser dur, langoureux, sa langue fouille ma bouche et je ne peux m'empêcher la mienne de lui répondre, c'est comme si mon corps s'abandonner a lui, cette force masculine

Je sais que tu attends, nu dans la grande pièce. Je pense à toi.

Il sort de la chambre, m'emmène avec lui vers toi.
Il ouvre la porte, je te vois là, assis dans le fauteuil le de la grande pièce
M'embrasse à nouveau devant toi.
Il s'enhardi, ses mains me caresse mes fesses, mes seins, mes hanches mon corps entier réagit a cette situation érotique à l'extrême car tout cela se passe devant toi.
Il t'appel, d'un ton ferme et sec, sa voix change quand il s'adresse a toi, plus autoritaire.
« A genou »
Tu t'exécute.

Ses mains se pose alors sur mes épaules appliquant une pression douce mais ferme à la fois, je comprends se qu'il attend de moi.
Je m'agenouille à tes côtés, que tu es beau.
Mes mains ouvrent un à un les boutons sa braguette, puis je défais sa ceinture et baisse son pantalon.
Je découvre alors un sexe en semi-érection, la taille semble légèrement supérieure à ma merveille encagée.
Il pivote légèrement et se pressente face à toi
« Suce ! montre à ta femme comment tu sais t'occuper d'une bite »
Il te fait sucer sa queue. Longuement.
C'est la première fois que je te vois faire ça !
La première fois que je te vois sucer le sexe d'un homme
Celui-ci grossit et durci dans ta bouche
Il m'aide à me relever pendant que tu continues à aller et venir sur son sexe.
J'avoue avoir du mal a te quitter du regard, tellement bizarre comme image, voir ton mari sucer un sexe est plus que troublant.
Mais un ordre sec me sort de mes pensés
« Mets-toi a 4 pattes ! »
Il met un préservatif.
Il me demande alors mon aide.
Je dois venir au-dessus de toi.
Je dois écarter ton sublime cul pour que je voie mieux.
Il va te pénétrer, te sodomiser.
Je vois sa queue qui rentre doucement mais assez facilement dans ton cul, ton joli cul de mec qui m'affole …
Tu gémis chéri, tu aimes qu'il te pénètre, t'offrir tel une femelle.
Il entre jusqu'au bout, il est complètement en toi.
Il commence ses vas et viens, il bouge en toi.
D'abord lentement, tu gémis doucement.
Ouvre-toi,
Je perçois la maitrise du personnage, laisse-toi faire.
Ressens bien et rappelle-toi ce que cela fait d'être pénétré amour.
Ton corps pénétré, offert, ton corps réception.
Ses vas et viens accélère et tes gémissements changent, plus aigüe, plus féminin, tu deviens femme sous ses coups de reins
Je ne peux détacher mon regard de se sexe puissant qui maintenant pilonne ton cul que je tiens toujours écartés telle une automate.
Je n'entends plus que ses cuisses claquées contre tes fesses immédiatement suivies d'un « han » de plaisir de ta pars.
Je t'entends jouir, alors qu'il continue ses mouvements rapides et amples.
Tu jouie mon amour, tu jouie d'être pénétré comme une femme, c'est nouveau et déroutant pour moi.
Je ne saurais dire combien de temps cela a duré, mais sentant sa jouissance venir il me prit par le cou et m'embrassa dans un râle de plaisir.
Il me relâche, je me redresse et regarde la scène, ne sachant plus quoi penser.
Il est là, reprenant son souffle, à genou derrière toi, puis te repoussant tel un simple objet, te voila au sol sur le côté haletant de plaisir.
Lui triomphateur retirant son préservatif et le déposant sur tes fesses tel un trophée.
« Reste-la ! » ordonna-t-il en se relevant, de tout façon tu sembles épuisés mon ange.


L'homme me prend par la main, m'emmène alors dans notre chambre, sur le lit.
Il veut que tu nous entendes de loin.
Que tu imagines ce qu'il me fait.
Il me couche sur le dos, les fesses au bord du lit.
Je suis encore habillée.
Il relève bien haut ma robe, libérant mes jambes et mon ventre.
Il commence à me lécher partout autour de la chatte, sur la chatte, dans la chatte, je dois t'avouer qu'il maitrise bien cette partie-là aussi.
Il introduit ses ses doigts, sa glisse tout seul, il m'excite la zone du bas, le point G, quel savoir-faire !
Je sens la volupté d'être dans cet état, encore habillée, chaussures aux pieds. Indécente, mon corps ondule, bouge, se tord, demande.
Je commence à gémir, à apprécier son empressement, à sentir monter une excitation de ce jeu qui devient plus que du jeu. Je voudrais que tu viennes regarder.
Nos esprits doivent être en communion car il t'appelle.
« Viens ! » claque-t-il
Oui viens amour, viens me voir gémir, viens voir mon corps perdre pied sous les caresses de cet homme.

Quand tu es là, d'un geste ferme il me déshabille.
Ma robe a disparue en un instant.
Je suis presque nue, je garde mes chaussures qui subliment les longues jambes.
Il se place derrière moi
Ecarte encore plus mes cuisses.
Il Te demande te tenir fermement mes chevilles
« MCI ? » demande tu humblement la tête baisser
« Oui ! » répond t-il fermement ?
MCI ? La fameuse caresse dont tu m'as parler et qui doit éveiller tous mes sens ?
Me voila donc en place pour cette découverte
L'homme se colle à moi, …… me tient fermement les chevilles.
Ces 2 mains viennent à l'intérieur de mes cuisses ?
L'une écartant habilement mes lèvres, l'autre commençant à caresser doucement mon clitoris d'un manière nouvelle et agréable.
Mon sexe est tout ouvert sous ses mains. Il me caresse, lentement je gémis a nouveau pendant qu'il m'excite.
A ma grande surprise mon désir,, mon plaisir monte plus rapidement que d'habitude, ce n'est pas le même plaisir, un plaisir qui rapidement m'amène a. une concentration extrême sur mes sensations pelviennes.
Je suis entièrement obnubilée par ce qu'il me donne, comme si mon corps n'avait plus qu'une oreille, une oreille-sexe qui écoute, qui prête attention, qui apprécie, qui savoure, qui en redemande, qui s'ouvre et se contorsionne sous ces doigts, habiles, qui bougent et dansent en cadence sur mon sexe.
Ces doigts puissants ont changé de rythme, tout s'accélère, la pression est plus forte.
Des forces qui me dépassent maintenant m'entrainent très loin vers un domaine des sens exacerbés.
Je le sens, je vais céder, laisser les digues s'écrouler, je décide de lâcher toute retenue.
J'ai envie de tout hurler, tout ce mélange, plaisir ou douleur, jamais mon sexe n'avait été aussi sollicité, jamais on ne m'avait emmené si loin, le rythme est la pression augmente a nouveau, c'est trop fort, trop intense.
Je veux resserrer les cuisses pour tout arrêter.
« Tiens la bien ! c'est le moment fatidique ! »
Sous ses ordres tu me tiens fermement les chevilles, il poursuite donc son ouvrage, sous ses doigts experts, mon corps franchis un cap, il n'hésite plus entre douleur et plaisir, se sera plaisir.
De nouvelles sensations m'apparaissent, des ruissellements qui me parcourent, des spasmes intérieurs qui semblent à chaque secousse ouvrir des portes secrètes vers encore plus de plaisir.
C'est une ouverture infinie vers le désir du désir, vers le plaisir du plaisir, vers toujours plus de profondeur qui élève…
Quand il s'est met à toucher le bout de mon clitoris d'une façon incroyable, le plaisir qui était déjà très intense, monte encore, comme au bord des lèvres.
Ça monte, et ça redescend comme dans un tourbillon sans fin, et je sens à chaque titillement de mon clito une vague puissante, un frisson d'un gout délicieux qui saupoudre la jouissance déjà si forte qui affleure au profond de mon ventre.
Chaque attention précise de sa main sur mon sexe décuple la vague qui monte.
Je m'abandonne maintenant, c'est irrépressible, et sous ton regard je vais jouir des gestes déterminés de cet homme.
C'est un puissant jet de jouissance que mon sexe expulse, cela ne mettait jamais arriver !
Je jouis de si loin, c'est en cadeau pour toi amour, je te montre une jouissance des pays lointains où tu ne t'es jamais aventuré.
Regarde-moi, regarde-moi bien, les hanches très cambrées pour ouvrir le passage encore plus et encore plus ma chatte sur ses doigts, offerte et entreprenante.
Je crie, j'hurle de plaisir, j'inonde les draps d'un jet sans fin.
Ma bouche cherche la sienne, aspirant follement sa langue quand je la trouve, jouissant à un degré qui dépasse toute mesure, au-delà des courbes de la normalité, marginale, libre, je m'envole au septième ciel essentiel, femelle totale.



L'étreinte se relâche
Pendant de longues minutes je reste à reprendre mon souffle, sur le côté, aux côtés de cet homme.
Quel sensation intense, sublime, c'est donc cela jouir ? C'est donc cela un orgasme ?
Mon amour tu es réellement cocu maintenant puisqu' un homme ma emmener dans plaisir plus loin que tu n'en a jamais été capable, tu peux être heureux.
Il me prend sous son bras, je me sens protégée sous son aile.
Il m'embrasse, je l'embrasse. Longtemps. Tendrement.
Nous Echangeons de longs et profonds de baisers.
On se mange les lèvres.
C'est troublant. Je ne suis pas en amour avec lui, et nous échangeons pourtant comme de l'amour qui circule de bouche en bouche, frais, aérien, léger, …
Parfois, furtivement, nos regards se sourient.
Peut-être juste cet amour humain qui nous manque tant, dans nos vies compartimentées, inhibées.
Au milieu d'un océan de sexe et de chauds effluves, un filet pur d'amour humain qui se faufile, radieux.

Tu me diras plus tard que tu aurais aimé juste à ce moment-là venir derrière moi tendrement, m'enlacer, me dire « je t'aime » en murmure à l'oreille… Ce moment précieux d'un amour si singulier. Partager

L'homme insatiable dominant, mâles s'assoit au pied du lit et t'ordonne de le sucer pendant que je me repose.
Je ferme les yeux sur cette scène ou tu es là au pied du lit, suçant le sexe de ce mâle.
Est-ce pour le remercier de m'avoir fait jouir si fort ou en symbole de sa supériorité masculine tu m'avoueras le soir que c'était un mélange des 2, que tu te sentais inferieur a lui face a sa puissance sexuelle et que tu voulais le remercier.

Je ne pensais pas m'être endormi, mais c'est le mouvement du lit un éclat reçurent qui me sortit de ma torpeur.
Mes yeux s'ouvrirent sur ton visage, tu es la presque au-dessus de moi, gémissant, bougeant par à-coup.
Et ce flash m'éblouissant de façon régulière ?
C'est le soleil qui se reflète dans le métal de ta cage, cette cage qui bouge car tu es de nouveau sodomisé, il ne sait pas satisfait de ta bouche, il prend a nouveau ton doux cul de mec et de façon de plus viril que la première fois.
Je te regarde tuas les yeux ferme, gémissant, couinant de plaisir.
Tu jouie encore comme une femme, je m'étonne aimer ce moment, a t'aimer encore plus dans ce rôle de soumis, d'être possédé par un male et de te voir aimer ça !
Je m'amuse presque de voir balloter cette cage sous les coups de rein de cet homme
Je me redresse pour le voir te prendre puissamment.
« tu es réveillé » ? parfait, viens près de moi ! viens te lover contre moi pendant que je m'occuper de ta lopette de maris »
« Lopette ? après tout, la situation si prêter bien »
J'obéis donc à ses injonctions, et me rapproche de lui, ondulante, chatte.
Il me prend fermement par la taille, me colle a lui, fesse se calle entre mes fesses, cherchant et trouvant le même orifice dont il s'occupe avec toi.

Il m'embrasse fougueusement tout en continuant son oeuvre, sa langue fouille ma bouche, son index mon anus, quel sensation érotique et étrange, de t'entendre gémir sous ces coups de rein puissant et gémir a mon tour sous la caresse de son doigt.
C'est alors que ta vois change, tu lui demande d'arrêter, pire tu le supplie, ton cul n'est pas habitué à un tel traitement.

Son baiser s'arrête, son regard bleu me dévisage
« Je n'ai pas encore jouie tu te sens capable de prendre la suite ? »
Je fais un petit hochement de la tête, il me faut libérer mon amour
« Je n'ai pas compris ta réponse ? » dis t il en me serrant encore plus fort
Je me lâche
« Oui ! Oui, non seulement je m'en sens capable, mais je le désir au plus profond de moi-même »

Il libère sa prise, et je vois se sexe encore dresser et dur sortir doucement de d'entre tes fesses.
Il retire le préservatif et le pose a nouveau sur ton dos
« Reste-la ! a 4 pattes lopette ! »
Décidément se mot lui plait.

Ça va être donc encore ma fête
Mais tu es la cette fois ci a côté de moi et tu peux t'inspirer, te remplir la mémoire de ces danses brutes et sauvages que tu as initiées. Regarde !!

Oui, car à présent l'homme invité est bien dans un rôle de d'alpha et il inlassablement, il reprend sa dureté travaillée. Je suis mise sur le dos à coté de toi.
Il prend un autre préservatif qu'il met sans problème, étant toujours aussi dur, il ouvre mes jambes sans hésitation, me soulève les hanches ; mais au lieu de venir en moi par la grande porte, de pénétrer le palais somptueux du féminin grand ouvert, en conquérant qu'il est désormais il emprunte le petit corridor…
Il s'invite dans mon cul, et plutôt facilement. Me voilà sodomisé à mon tour mon amour et devant toi.
« Ça rentre facilement ! », comment t- il
Ses allez et venues d'abord douces, prudentes, vont s'accélérer, de plus en plus vite, de plus en plus ample.
Il s'active si fort ! Il tient fermement mes jambes en l'air maintenant, les pousse un peu, les met sur les côtés, mes genoux de chaque côté de mon corps, me voilà écartelé, ouverte comme jamais et ainsi, il me domine totalement et me rend folle de ces sensations d'impasse d'être prise, objet possédée.

Cette sodomie déterminée dure longtemps, plus cela dure, plus cela l'excite !
Il en redemande, continue encore, il me met sa bite très profondément, jusqu' aux bourses, virilement en vrais mâle qu'il est.
Chaque coup de butoir me fait hurler, cambré, la tête en arrière, mais pas hurler de douleur. Non.
Ce sont juste des gémissements haute fréquence de femelle qui communiquent leur message précis : « Oui, viens là, et entre où tu veux. Je suis à toi ! Je suis ta chose ! Ok, à l'instant, c'est open bar. Tout ce qui est chez moi est chez toi, fait de moi ce que tu veux, l'espace de ces instants privilégiés ».

D'un coup je sentis comme un courant électrique parcourir ma colonne vertébrale de mes reins jusqu'à ma nuque, mes jambes se mirent à trembler sans que je puisse les contrôler, mes bras faire des geste désordonnés ma tête aller de droite à gauche, mon anus se contracte de plaisir sans que je puisse y faire quelque chose, je perdais le contrôle de de mon corp, à chaque pénétration, c'est une décharge électrique qui envahie mon système nerveux, je perds mon corps à chaque fois.
Un coup ultime plus violent que les autres me fait comprendre que la fin est proche, il se contracte je le sens déchargé en moi, mon cul se resserre une dernière fois. C'est donc cela un orgasme anal.
Il lâche mes cuisses qui naturellement vienne encercler sa taille, il pose ses mains de chaque côté de mon corps et se penche sur moi, me regarde dans les yeux.
Je le regarde et je me rends compte que je ne vois plus l'homme, je vois mon Maitre, mon MALE.
Il m'embrase dans un baiser tendre, je ne peux retenir un « je t‘aime mon amour ».
Il sourit, se retour vers toi
« Tu vois Lopette maintenant tu peux vraiment dire que tu es cocu ».

Il s'allonge à côté de moi, je viens me lover naturellement contre lui, ma mais se baladant sur son torse et machinalement, descendit vers son sexe qui même s'il avait perdu de sa superbe, mais m'attiré indéniablement.
Ma main caresser cet objet de plaisir quand il l'enleva dans un grand sourire
« Je pense qu'il est tard, et que je dois vous laissez vous retrouver.
Il se leva, pris une douche, s'habilla.
Il nous retrouva dans le salon assis l'un à coté de l'autre, nous remettons de cette divine expérience, toujours nus.
Il fouilla dans la poche de sa veste et sortie la clé de sa poche
« Se sera plus facile avec ça ! »

Il partie non sans nous promettre de venir nous revoir, bientôt.

Nous nous retrouvons enfin, emplis de notre amour magnifique. Tu es mon mari magnifique, le dirai-je assez durant mon passage sur cette terre ?

Il m'avait troublée cet homme par sa présence.
Son regard étrange.
Sa façon de jouer son rôle en l'incarnant totalement jouer-t-il d'ailleurs ?
Je ne le pense pas.
Je m'étais sentie emmenée dans son merveilleux univers, et j'avais cette fois-ci réellement envie de le retrouver.
Après cette expérience, je l'ai fantasmé dans mon lit.
Rejoué en esprit les scènes qui m'avaient surprise.
Ses doigts experts. Sa puissance érotique et sexuelle. Son regard comme à travers moi, transpercée.
Ton regard voyeur et aimant.
Ton regard surtout. Ton plaisir à me voir baisée comme jamais tu n'as su le faire par un autre…

Cette fois-ci, oui, j'avais joui, et en perdre conscience.
A 43 ans j'ai enfin connu le vrai orgasme
Devant toi, pour toi.
Je me suis abandonné à lui, lui qui me fascine un peu, pour que tu me voies dans cet état.

Je ne me lasse pas de le répéter, mille fois…. Mille et une fois, cette unième fois d'il était une fois …. Il était une fois mon présent du ciel, mon désir fabuleux, mon amour fou que je libère à chaque seconde, mon qui n'est pas « mon », mon qui me donne tant de joie de vivre ! Toi. Mes bras grands ouverts, mon coeur grand ouvert, mon amour qui augmente de son souffle l'espace et les couleurs de mon coeur, qui le fait fondre et le dilate sans limites, c'est à dire, sans peurs.

Je n'ai pas le temps de vivre le manque, ce serait te manquer.

Et pourtant je ressens humainement, douloureusement, ce manque à chaque difficile moment où je dois te quitter. Je m'emplis tellement de toi, de ta musique, de ton sourire, de ton espièglerie, de ta beauté d'être… de ton amour incroyable envers moi…

Tu m'appelles mon ange, tu m'appelles ma chérie, mon amour, tu m'appelles mon coeur … Tous les noms si tendres que tu me donnes me créent littéralement, me transpercent amoureusement et m'inondent de douceur, me touchent au coeur qui est ton coeur.
Là se rejoignent nos êtres, nos âmes.

Quel bonheur. Je te retrouve avec tant de plaisir en amoureux.
D'être bien chacun dans le corps de l'autre. Viens mon amour chéri, entre en moi. Retrouve-moi.
Viens me pénétrer de tout ton être. Viens.
Suspension paradisiaque.
Je t'aime.

Le 18/05/2025

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a publié ce sujet le 23 mai