Train de nuit, nous deux et deux gentlemen militaires
Nous prenons le train comme on en fait presque plus, de nuit, un compartiment avec 4 couchettes, direction la Suisse. Nous partagions notre compartiment avec deux hommes au physique athlétique, des officiers militaires, beaux et charmants.
Ma femme n'était pas insensible à leur charme et réciproquement. Nous échangeons un verre au wagon bar à 4 pour parler de jolies choses et faire illusion, le romantisme étrange entre ces deux hommes mâles alpha et gentlemen opérait entre eux et nous. Un feeling transgressif s'opérait comme si nous étions dans un monde parallèle. Une coupe de champagne puis une autre puis une autre bouteille que l'on finit en cabine.
Lumière éteinte chacun rejoint sa couche et le silence pesant, le sommeil ne portant aucun conseil. Je tombe de sommeil mais je me réveille par un bruit de frottement, le train ? Non c'était autre chose … plus proche et discret. Je regardais vers ma femme vers la couchette du bas, ma femme n'y était pas. J'entendais un bruit de draps sur une des banquettes en face … l'un des hommes se branlait il ? Ohhh non bien autre chose. Il remuait mécaniquement les hanches et il faisait l'amour à ma femme. Dans l'obscurité je reconnais l'ombre de son visage secoué avec une régularité d'un métronome. Elle se faisait pénétrer en missionnaire, sa bouche échappait par moment des petits couinement de plaisir à peine voilés par le bruit du train sur les rails. Le rythme des pénétrations s'aligne aux frottements des roues du train sur les rails.
Je peux apercevoir l'autre homme nu allongé sur sa banquette se branlant aussi discrètement que son érection loin d'être discrète.
L'autre homme était infatigable et inlassablement il pilonne ma femme à grand coup de bite. Je voyais la queue de l'autre et pudiquement je voyais les deux autres sous un drap alors qu'il n'avait aucune ambiguïté, le mini matelas grinçait et j'étais impressionné par sa virilité et ma femme se faisait baiser en pleine nuit par cette queue infatigable, inusable, inarrêtable, les petits coups de butoirs provoquent des gémissements, des mots bruits inarticulés. Ma femme chantait toute une palette de ohhh ohhh ohhh, que dire ? Que faire ? Quand il semblait s'arrêtait aussitôt remplacé par son compagnon de la couchette du dessus … et ce fut reparti dans le plus grand anonymat de la cabine, une bite en remplace une autre et ma femme écartelée, le drap glisse au sol, jambes écartées, elle est défoncée encore et encore quand l'autre allongé tout calme et moi le coeur battant. Ma femme secouée, une jambe dans le vide, l'homme cherche à pénétrer au plus profond de son vagin, atteindre son utérus, à la transpercer de son épée. Dieu que ma femme était belle offerte et prise aussi longtemps et profondément, il n'eut pas fini que l'autre repris sa place initiale pour revenir à rythme plus doux en elle. Ma femme se faisait prendre en alternance par ces deux officiers, ces hauts gradés remplissant leur devoir de mâle, ils accomplissaient une mission secrète dont j'étais le témoin acceptant ma défaite et le butin revenait aux vainqueurs, un droit de cuissage illimité en toute impunité toute la nuité du voyage. Ma femme secouée par deux bites bien raides, je déclare forfait, impossible de réagir et je baisse la garde devant ces deux guerriers armés d'une telle puissance. Que dire ? Ma femme séduite s'est laissée conquérir, posséder et abuser. Les vainqueurs baisent et le vaincu regarde cette victoire explosive qui n'en finit pas. La cabine sentait le sexe. La nuit s'est finie à la destination où les queues dures finissent par être enfin molles et assouvies. Ma femme rejoint sa couchette pour se rhabiller avec pudeur devant des hommes qui l'ont baisé sans aucune peur
